Premières expériences et engrenages : Chapitre 54 : Le refus

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il y a 1 an

Chapitre 54 : Le refus

Elle reprit ses caresses, redonnant à ma verge la fierté de sa forme. Elle approcha ensuite son visage et commença à me lécher le gland. Je bougeai, me trémoussai, regrettai d’être attaché et de devoir attendre, vivre au rythme qu’elle avait choisi. Sa main se serra, étranglant mon sexe, mais sans me branler, tandis que sa langue s’activait.

Finalement elle avala mon gland. J’avais le droit à une fellation. Un inaudible cri sortit de ma bouche quand ses dents frottèrent sur mon gland à nouveau sensible. Non. Pas de douleur voulais-je maintenant, mais juste de la douceur.

Son autre main se cala sous mes couilles, les serrant légèrement, en cadence. Je donnais des coups de hanche, pour activer mon désir, attiser mon excitation, mais elle me relâcha.

  • Laisse-moi faire, dit-elle, alors que l’excitation disparaissait à nouveau.

Comme si j’avais le choix ! Mon dieu, qu’elle prenait son temps ! Dix minutes déjà sans en venir aux choses sérieuses ! Si c’était cela les préliminaires dont on entendait parler, cela ne me plaisait pas. Ma langue seule, l’aurait déjà fait arracher la tapisserie. La chambre bleue se serait appelé la chambre hachurée.

Je cherchai à me détendre, regardant autour de moi quand je vis la caméra. Incluse dans l’œil d’une statue, d’un masque tribal africain plutôt, elle donnait l’impression que ce dernier me faisait un clin d’œil coquin et vicieux, jugeant ce qui se commettait sur ce lit. La lumière verte, camouflée par le bois du masque, se décelait néanmoins. Je la trouvais mal placé pour avoir une vue d’ensemble, avant de comprendre qu’il devait y en avoir d’autres, quadrillant la pièce et le lit. Le sachant, j’en découvris trois, toutes allumées de vert, visualisant ou plus probablement enregistrant nos ébats.

Enfin les miens, car Ladyscar n’était pas très active. Je me montai un film sur ce qui se cachait derrière les écrans, de ce qu’elles feraient du film, maintenant ainsi mon érection. Comme Maitresse Diane, qui se retirait à moi juste avant son plaisir, ma dominatrice s’évertuait à me caresser uniquement lorsque mon sexe commençait à retomber.

Puis, pour je ne sais quelles raisons, elle me branlait quelques secondes et s’arrêtait avant que je ne jouisse. A un moment alors que je croyais l’extase arrivé, elle me serra la verge tellement fort à sa base que rien ne voulut sortir.

Son jeu continua encore plusieurs minutes avant que je ne craquasse.

  • Maitresse. Allez-vous me faire jouir ? lui demandai-je à bout.

  • Non, répondit-elle simplement, réactivant mon envie une fois de plus.

Qu’était-ce ce jeu sadique que je ne connaissais pas. Si elle ne voulait pas que je jouisse, pourquoi m’avait-elle en levé la cage et m’excitait-elle ?

Vu sa dernière réponse, je savais que je n’obtiendrais rien d’elle, à part son énervement, si je l’abreuvais de questions. Je décidai donc, comme je devais être privé de jouissance, de la priver de son plaisir à elle. Il ne savait donc à rien que je bandasse.

Penser est une chose mais le faire en est une autre. Moins je bandais, plus elle s’excitait sur moi, m’amenait au bord de cette libération avant de me laisser dégonfler. Elle savait comment faire. Un pincement de mes tétons, un mordillement de mon gland et alors mon sexe, désobéissant à ma stratégie, me trahissait, s’alliant à elle comme un soldat décérébré. Garde à vous. Repos. Garde à vous. Repos…

Cela dura une bonne demi-heure en tout. Les frottements de sa main, discontinus mais répétitifs avaient chauffé et brûlé la peau de mon sexe et de mon gland plus que la pâte n’avait pu le provoquer.

  • Maitresse. Je voudrais jouir. J’ai mal.

  • Je sais, répondit-elle en forçant un peu plus le douloureux massage et montant enfin la cadence.

Cà y est.

J’allais pouvoir.

Onze jours de chasteté, onze jours d’abstinence.

Alors que j’allais éjaculer, sentant monter la tension, elle s’arrêta brusquement, comme la pub au milieu de l’intrigue d’un film, inapproprié.

Du haut de mon sexe, un peu de liquide transparent, comme une bulle, émergea, au lieu du geyser chaud et puissant que je pronostiquais. C’était comme si on avait coupé la pression dans les tuyaux juste à temps pour éviter une catastrophe. Je sentais que je ne pouvais me retenir, mais aucune étreinte, aucun joug ne me donnait l’ultime impulsion. Un peu de liquide s’écoula encore.

Frustré, je ne regardai plus le parangon de ma déchéance qui s’écoulait le long de ma verge et fixai le plafond.

  • Vous n’allez pas me laisser comme cela ? lui demandai-je.

  • Non, bien sûr, répondit-elle en se levant.

Elle revint une minute plus tard, tenant dans sa main une sorte de pot à stylo. Pourquoi faire ? Je me démenais sur mes liens, mais rien ne cédait.

  • Parle-moi de ta mère ? me dit-elle.

  • Pardon !

  • Ta mère. Comment est-elle ? Que penserait-elle de te voir comme cela ?

Je débandais immédiatement en essayant de répondre à sa question, alors que Ladyscar plongea la main dans le pot pour en sortir des glaçons. Elle en entoura mon sexe, les contenant dans sa main. La sensation fit effet immédiatement. Mon zizi, je ne voyais plus d’autre nom à lui donner sans paraître grandiloquent pour ce qu’il en restait, était devenu plus petit que je ne l’avais jamais vu. On ne pouvait s’imaginer que quelques minutes auparavant ma verge culminait aux sommets, s’élevait au-dessus des nuages d’altitude, trônait au milieu des dieux de l’olympe.

Ladyscar tendit le bras et attrapa alors la cage de chasteté sur la table.

  • Non. Non, lui criai-je.

  • Et si, répondit-elle avec un sourire sadique, me la fixant à nouveau sans aucune difficulté.

Je pleurais. Nulle joie ! Nulle douleur ! Nulle douceur ! J’étais anéanti. Elle me déposa un baiser sur la bouche. Mais je me détournai d’elle, tel un gamin gâté et boudeur.

  • Bonne nuit, me dit-elle en continuant à sourire.

Je pleurai de plus belle, incapable de penser aux risques d’étouffements que je prenais.

Il semblait, qu’au moins, elle n’ait pas menti sur un point. Elle resta allongée à côté de moi, se resserra, monta un genou au niveau de mes couilles et les remua doucement, me rappelant que je serai privé de ce peu de bien-être que je réclamais depuis maintenant onze jours, jusqu’à ce qu’elle décide de me l’accorder.

Ma fatigue l’emporta sur mes atermoiements et je m’endormis ainsi.

Arghhhh!!!!!!!! un orgasme ruiné.......
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